Sous les Zianides, la capitale Tlemcen accueille de nombreux artisans andalous et son élite imite l'habillement des familles nobles immigrées[29]. C'est à cette époque que la robe tunique en soie, appelée 'abaya, qui équivaut à la joubba de l'Algérie orientale, est introduite, ainsi que la coiffe conique, deux concepts que les Tlemcéniennes vont désormais partager avec les Constantinoises[thirty].

Durant la période ottomane, la nouvelle capitale, Alger, a gardé des liens particulièrement forts avec Tlemcen, sa tenue intègre de nouveaux éléments vestimentaires tels que des caftans en velours et des vestes[33]. La melhafa se retire progressivement du costume quotidien et n'apparaît moreover qu'à l'situation des mariages, superposée au caftan[33].

     La musique des Touareg est une musique ancestrale; un mélange de la musique de l'Afrique noire et de la musique Berbère du su...

Village des Aurès, dans les années 1930. Difficile d'accès, le massif des Aurès se distingue par la permanence de formes vestimentaires et de parures vernaculaires peu impressionées par les influences étrangères[eighty]. Ainsi, le péplum à fibules, appelé elhaf, perdure dans les villages de l'Aurès in addition longtemps que dans les autres régions montagneuses de l'Algérie[80].

Il est possible de trouver des Karakous en stock dans les boutiques spécialisées ou bien de passer commande pour une création sur mesure.

Le style oriental du Karakou, qui rappelle read more les tenues traditionnelles de l'Algérie et de la région, est très apprécié pour les mariages et les fileêtes.

Il est appelé Elfouta qui couvre le corps de la taille jusqu’aux jambes. Les femmes kabyle adorent l'argent et aiment même le mettre au quotidien. Chacune possède un bracelet, un  collier, des boucles d'oreilles et une bague en argent qui sont associés à cette modeste robe kabyle. La robe kabyle (Thakandourth- nl -Kvayel ) porte beaucoup de noms selon la région dont elle fait partie, tel que Thakandourth Iwadayen qui se réfileère à la région Wadiya à Tizi Ouzou. Pendant chaque mariage (cérémonie de henné), les femmes portent la robe kabyle et les hommes mettent le Barnous qui est fait à la major avec la laine des moutons. Dans certaines régions, les personnes âgées le portent encore tous les jours, surtout en hiver pour se réchauffer. 

Le Karakou, dans sa forme contemporaine, preserve des éléments traditionnels comme la coupe cintrée et évasée, caractéristique de sa silhouette. Les créateurs de method actuels introduisent de nouveaux matériaux et modifient les motifs pour plaire à une shopperèle en quête de modernité tout en préservant l’héritage culturel de la tenue.

Pour offrir les meilleures expériences, nous utilisons des technologies telles que les cookies pour stocker et/ou accéder aux informations des appareils. Le fait de consentir à ces technologies nous permettra de traiter des données telles que le comportement de navigation ou les ID uniques sur ce site.

L’apport de la civilisation andalouse a donné lieu également à la fameuse Kassaka algéroise, une tunique en dentelle au-dessus de laquelle se porte la Fermla, un gilet brodé au fil d’or ou d’argent, Fetla ou Medjboud.

Le karakou doit être ajusté de manière précise pour flatter la silhouette tout en garantissant le confort. Les tailles varient, et le karakou est souvent réalisé sur mesure pour s’adapter parfaitement au corps de chaque femme. Voici quelques factors clés pour la taille et l’ajustement :

Sa coiffe preserve la dlala, une pièce en velours, généralement rouge ou bordeaux couverte de sequins, de disques en or jaune et de perles baroques, placée à hauteur du front. Comme à Constantine, la chéchia pointue en velours garni d'arabesques brodées, se porte inclinée[72].

Femmes en tenues berbères algériennes. Toutefois, les femmes aurésiennes renoncent à certaines traditions ancestrales liées à l'habillement et à la parure. Dès l'aube du XXe siècle, elles optent pour les cotonnades et abandonnent les laines tissées héritées de l'ère antique[eighty]. La proximité de Constantine avait entraîné l'assimilation du principe du vêtement coupé et cousu par les villageoises vers la fin de l'époque ottomane[82].

Le Karakou s’est frayé un chemin sur la scène internationale comme une représentation de la method orientale attirant l’awareness à travers le world. Il est régulièrement prédespatchedé dans des défilés de manner et a été porté lors d’événements culturels et de mariages en dehors de l’Algérie, reflétant ainsi un rayonnement Global.